sainte-marie des cabanes

sainte-marie des cabanes
forteresse de "solitude"

lundi 10 novembre 2014

Un bon dossier sur le fluor.

Les eaux minérales les moins fluorés:
EVIAN
0.1
LUCHON
0.07
PERRIER
0.07
THONON
0.07
CELTIC
0.05
DIDIER PLATE
0.05
MONT-ROUCOUS
0.05
ST-MARTIAL
0.03
OGEU
0.09
Un dentifrice ayurvédique sans fluor:


Opération fluor
28 août 2013
Le fluor est un résidu de la production de l'aluminium, il y a 40 ans (en ce qui nous concerne) que
nous connaissons cette imposture qui consiste à utiliser ce déchet toxique. Non seulement le fluor n'a
aucun intérêt pour les dents, mais il leur est nuisible à long terme. Mais surtout, on sait depuis, que le
fluor agit, notamment sur les neurones, conduisant à la perte du sens critique et de la mémoire.
Nos études et investigations depuis ces 40 ans, nous ont amenés à découvrir que l'utilisation de fluor
(comme de l'aluminium), dans l'eau et les produits de soins corporels, n'est ni le fruit du hasard, ni
celui de l'incompétence, mais bien celui d'un acte parfaitement délibéré.
C’est en ces termes que nous nous adressions au laboratoire Biopha Nature (85600 BOUFFERE),
après que nous nous soyons aperçu que leur dentifrice bio SANS fluor, avait été reformulé AVEC fluor.



Cette régression nous ayant navrés, nous avons contacté Raphaël Dubois, du « Service
Consommateurs Biopha nature ». Nous avions indiqué aussi ceci : « Il faut savoir que toutes les
intoxications par le fluor génèrent des troubles psychiques graves, pouvant conduire à la perte de la
volonté, voire de la folie, surtout lorsque cette intoxication se produit pendant la phase de croissance.
D’autre part, rappelons que "le fluor désorganise la structure minérale des dents et de l’ossature,
favorisant des microfractures au niveau du squelette"... Il agit lentement et en profondeur et favorise
ainsi les scolioses, les cyphoses, l’hyperlaxité ligamentaire et la dégénérescence accélérée de
l’organisme ». (Source : "des clefs pour vivre" du Dr Sony).
Le 14 mars 2013, nous recevions cette réponse de monsieur Dubois : « Nous avons relayé votre
information auprès de notre Directeur Général, Monsieur Fabrice CAHIERC, qui a été stupéfait de
votre retour. De ce fait, nous allons procéder à des recherches mettant en balance le pour et le contre
du fluor dans les formules cosmétiques et ce, dans les plus brefs délais. Suite à ces recherches et aux
résultats que nous établirons, nous prendrons la décision ou non de reformuler notre dentifrice « sans
fluor ». Nous vous tiendrons bien sûr informé de l’évolution du dossier. ».
Et effectivement, nous recevions la réponse suivante le 17 mai dernier : « Suite à vos remarques,
nous avons demandé à notre service réglementaire de nous constituer un dossier sur l’intérêt de la
présence ou non du fluor dans les dentifrice Biopha nature. Vous trouverez le dossier complet en
pièces jointes. Suite à ce dossier, nous en avons conclu qu’il n’y avait pas de risque majeur (sic !) à
utiliser du fluor dans nos produits. Notre service réglementaire et notre expert toxicologue ne sont
pas contre l’utilisation de cet ingrédient (aux doses recommandées par les autorités sanitaires).
N’hésitez pas à nous envoyer des dossiers scientifiques concrets sur la toxicité de cet ingrédient qui
pourraient remettre en cause l’utilisation de cet ingrédient. Nous restons ouvert à vos remarques. ».
Cette réponse est un bel exemple significatif du fonctionnement de ce « système », que nous
connaissons pour l’avoir pratiqué (10 ans en recherche pharmaceutique dans l’un des plus grands
laboratoires du monde), et toujours à présent, avec nos contacts familiaux et amicaux avec des
scientifiques du Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris, et différents chercheurs du CNRS
notamment et professeurs de médecine (à noter que la recherche fondamentale est une illusion
depuis 40 ans, date où le CNRS s’est associé à un laboratoire privé pour commander les domaines de
recherches). Quasiment la totalité des recherches sont commanditées et les résultats « suggérés » à
l’avance, et tout chercheur espérant une promotion, ou tout simplement de voir renouveler ses
subventions, doit filer doux… La valeur des documents dits « scientifiques », présentés par Biopha,
est donc toute relative. Ce n’est pas ainsi qu’il faut aborder la question du fluor (comme pour tout le
reste), mais avant toute démarche, il faut commencer sur un plan historique et politique (sinon,
comment expliquer l’affaire du Médiator ? Pour ne citer que cet exemple, parmi une multitude…).
Un dernier rappel, nous avons été les premiers à proposer un déodorant « sans aluminium,
sans parabens ni phénoxyéthanol ». À présent, il est bien difficile de vendre un déodorant qui
n’ait pas ces mentions ! Nous ne sommes pas là pour juste stupidement et servilement appliquer une
réglementation, mais pour la faire évoluer dans l'intérêt supérieur des consommateurs.
Tout le monde sait à présent que l’aluminium est impliqué dans le cancer du sein, et dans des
troubles neurologiques graves, comme l’Alzheimer. Cela n’empêche pas d’injecter ce métal, à doses
massives, à des bébés et à des femmes enceintes, via les « vaccins »… Demandez-vous pourquoi ?
Idem pour le mercure, poison du système nerveux, responsable notamment de l’autisme (en
augmentation fulgurante), pour le formaldéhyde (classé cancérigène), nécrosant, pour le borate de
sodium (stérilisant)… Sans parler du polysorbate 80, utilisé en pharmacologie pour permettre à
certains médicaments ou agents chimiothérapeutiques de traverser la barrière hémato-encéphalique.
Pourquoi des levures, des éléments bactériens, des métaux lourds ou autres ingrédients des
« vaccins » auraient-ils besoin de passer dans le cerveau de nos enfants ? Posez-vous la question !
http://vivresansogm.org/vaccins-poisons/index.html
Le fluor : arme chimique
Le fluorure est un répressif majeur des fonctions intellectuelles. Ajouté aux réserves d'eau et aux
dentifrices, le fluorure de sodium (le mot fluor, plus simple, est utilisé dans la suite du texte) est un
ingrédient commun aux poisons préparés à l'intention des cafards et des rats, aux médicaments
psychiatriques, hypnotiques et anesthésiques et aux gaz neurotoxiques.
C'est l'un des ingrédients de base du Prozac et du gaz neurotoxique Sarin, qui fut employé au Japon
dans l'attaque du métro. Des preuves scientifiques indépendantes montrent que le fluor provoque des
troubles mentaux variés et rendent les gens stupides, dociles et serviles, en plus de diminuer
la longévité et d'endommager la structure osseuse. La première utilisation du fluor dans l'eau
potable date des camps de concentration NAZIs, grâce à la I.G. Farben, société pharmaceutique
géante notoire. C'est elle qui dirigeait des camps comme Auschwitz. Elle existe encore, elle fait partie
intégrante de la compagnie allemande BAYER. Quelqu'un pense-t-il que les nazis firent cela parce
qu'ils se sentaient concernés par la santé des dents de leurs prisonniers ? Cette médication massive
des réserves d'eau en fluor servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour s'assurer de leur
docilité. Charles Perkins, chimiste, écrivit ce qui suit à la Fondation pour la recherche nutritionnelle
Lee, à Milwaukee (Wisconsin), le 2 octobre 1954 :
« ...Dans les années 30, Hitler et les NAZIs allemands, envisagèrent un monde dominé et dirigé par la
philosophie nazie du pangermanisme. Les chimistes NAZIs élaborèrent un plan d'une grande portée
(et très ingénieux), de contrôle des masses, plan qui fut soumis et adopté par l'état-major allemand.
Il consistait à prendre le contrôle de la population de n'importe quelle région, par la médication
massive des réserves d'eau potable. Par cette méthode, ils pourraient contrôler la population de
zones entières, la réduire par la médication de l'eau - qui provoquerait la stérilité des femmes - et
ainsi de suite. Le fluor tenait une place importante dans ce projet de contrôle des masses. ».
Charles Perkins dit que des doses répétées de fluor, en quantité infinitésimale, réduisent les
possibilités d'un individu à résister à la domination, en empoisonnant lentement, par narcotisme,
une partie précise de son cerveau, le soumettant ainsi à la volonté de ceux qui
veulent le gouverner. Il dit que le fluor est une « lobotomie légère et commode » et que la
véritable raison qui se cache derrière la fluorisation de l'eau n'a rien à voir avec la santé
dentaire des enfants. Si c'était le cas, il existe une quantité d'autres moyens, plus faciles à mettre
en place, moins coûteux et de loin plus efficaces, souligne-t-il. Le réel objectif derrière la fluorisation
de l'eau était de réduire la résistance des masses à la domination, au contrôle et à la perte de leur
liberté. Perkins dit que lorsque les NAZIs décidèrent d'aller en Pologne, l'état-major Allemand et
l'état-major Russe échangèrent leurs idées scientifiques et militaires, leurs plans, leur personnel et le
projet du contrôle des masses par la médication de l'eau, que les communistes Russes adoptèrent
aussitôt parce qu'il collait parfaitement à leur plan de communiser le monde.
« Le plan me fut expliqué en détail par un chimiste Allemand, l'un des officiels de l'immense industrie
chimique I.G. Farben. À l'époque, cet homme avait aussi une place importante au sein du mouvement
NAZI. Je dis ça avec toute l'honnêteté et la sincérité d'un scientifique qui a passé près de vingt ans de
sa vie à faire des recherches en chimie, en biochimie, en physiologie et en pathologies dues au fluor :
Une personne qui boira pendant un an, ou plus, de l'eau à laquelle on a ajouté du fluor, ne sera plus
jamais la même, mentalement ou physiquement. ».
C'est la raison même pour laquelle, depuis, les « gouvernants » ont continué de plus belle à
encourager la consommation de fluor. Y a-t-il meilleur moyen de diminuer les capacités mentales de
la population qu'en contaminant les réserves publiques d'eau potable ? Lorsque nous buvons quelque
chose qui contient de l'eau « fluorée », y compris de la bière et des sodas (boissons gazeuses), nous
sommes intoxiqués lentement, mais sûrement. Le fluor est un sous-produit de l'industrie de
l'aluminium. L'idée d'introduire du fluor dans l'eau potable vient de la famille Mellon, aux États-Unis,
qui dirige le cartel de l'aluminium ALCOA. La lignée des Mellon est très importante. Ce sont des amis
intimes de la famille royale d'Angleterre et, par le réseau, ils dictent la politique US.
Les fluorines industrielles sont des pollueurs importants des fleuves et des rivières.
Elles empoisonnent le sol, les poissons et les animaux. Comme leur traitement coûtait une fortune à
l'industrie de l'aluminium, la famille Mellon manoeuvra la situation de telle sorte que ces déchets
empoisonnés deviennent une énorme source de revenus et de contrôle humain.
En 1944, Oscar Ewing était employé par ALCOA et touchait un salaire de 750 000 $. Imaginez à quoi
cela correspondrait aujourd'hui ! Quelques mois après, il quitta ce poste pour prendre la direction de
l'Agence de sécurité fédérale du gouvernement US. Là, il fit campagne pour que l'on ajoute du fluor à
l'eau potable publique.
Les Mellon le vendent maintenant pour l'eau potable et les dentifrices avec une marge de profits de
20 000 %.
Une part de fluor, pour un million, se retrouve dans l'eau, mais nous buvons seulement la moitié de
1 % des réserves d'eau. Le reste de ces dangereux déchets, déposés librement par l'industrie
chimique, descend dans les égouts. Et nous payons pour cela. Comme toujours, la principale raison
n'est pas pour faire plus d'argent. C'est pour dominer encore davantage.
Une ancienne programmatrice de la manipulation mentale, a parlé de l'énorme implication des Mellon
dans le satanisme et auprès des « gouvernants ». Elle a dit qu'elle savait que la Banque nationale
Mellon, à Pittsburgh (Pennsylvanie, USA), est une exploitation qui blanchit de l'argent pour les
« gouvernants ». Croyez-vous cette famille capable de mettre des produits chimiques dans l'eau
potable et dans le dentifrice uniquement parce qu'ils veulent garder vos dents en bonne santé ?
Ce que le fluor ne fait pas, d'ailleurs ! En Angleterre, sur l'Île de Wight, il y avait un membre du
Parlement nommé Peter Brand qui faisait pression pour que le fluor soit ajouté dans l’eau potable
parce que c'est bon pour les dents des enfants. Cet homme est médecin de profession et porte-parole
de la santé du Parti démocratique libéral. En fait, il n'y connaît pas grand chose et procure un
exemple supplémentaire de la désinformation profonde du corps médical. Parce qu'ils sont médecins,
beaucoup de gens croient qu'ils savent tout. Le Dr Hardy Limeback*, détenteur d'une maîtrise en
sciences et d'un doctorat en biochimie, chef du Département de dentisterie préventive à l'Université
de Toronto et président de l'Association canadienne pour la recherche dentaire fut, un temps, l'un des
principaux promoteurs pour l'ajout du fluor dans l'eau potable du Canada. Brusquement, il déclara
avoir changé d'avis. Il a dit : « Les enfants de moins de 3 ans ne devraient jamais utiliser de dentifrice
fluoré, ni boire de l'eau fluorée. Et, les formules des produits pour bébés ne doivent jamais être
faites avec l'eau du robinet de Toronto. Jamais ! ».
Une étude de l'Université de Toronto révèle que les habitants des villes dont l'eau est fluorée ont deux
fois plus de fluor dans les os des hanches que ceux des zones non fluorées. L'étude a aussi établi que
le fluor change l'architecture de base des os humains. Il existe une condition débilitante nommée
fluorose du squelette provoquée par l'accumulation de fluor dans les os, ce qui les rend plus fragiles.
Les premiers symptômes sont la fragilisation des dents et des taches sur l'émail.
D'après le Dr Limeback, les habitants du Canada dépensent plus d'argent pour le traitement de la
fluorose que pour celui des caries. Mais, attendez un peu... mettre ce poison dans l'eau et le dentifrice
permet au moins d'avoir des dents saines et de prévenir les caries… oui ? Euh... Non !
Comme l'a souligné Limeback, le fluor a été ajouté à l'eau potable de Toronto pendant trente-six
ans, alors que Vancouver n'en a jamais eu. Écoutez bien : la population de Vancouver a un taux de
caries plus bas que celle de Toronto ! Il dit que le taux de caries est bas partout dans le monde
industrialisé - y compris l'Europe qui, en 2001, était épargnée à 98 % par la fluorisation. C'était dû,
dit-il, à l'amélioration des niveaux de vie, moins de sucre raffiné, visites régulières chez le dentiste,
utilisation de la soie dentaire et brossages fréquents, et qu'il y avait maintenant moins de deux caries
par enfant au Canada. Il dit que ceux qui continuent à promouvoir le fluor, se basent sur des données
pour le moins contestables, datant de cinquante ans. « Les dentistes ne sont absolument pas formés
en toxicité, dit-il. Votre dentiste bien intentionné est simplement en train de suivre cinquante ans de
désinformation de la santé publique et des associations dentaires. Moi aussi, je l'ai fait.
Malheureusement, nous nous trompions. ».
Non seulement, nous buvons ce poison, mais nous ramassons aussi tous les autres déchets de
l'industrie de l'aluminium. Limeback a déclaré :
« Nous avons été assommés de réaliser que nous avions déchargé du fluor contaminé dans les
réservoirs d'eau pendant un demi-siècle. L'immense majorité de tous ces additifs fluorés vient des
nettoyants industriels des hauts fourneaux de Tampa Bay (Floride). Les additifs sont un sous-produit
toxique de l'industrie des fertilisants au phosphate. C'est tragique, car cela signifie que nous ne
faisons pas que décharger des fluorures toxiques dans notre eau potable. Nous exposons aussi des
gens innocents, et qui ne se doutent de rien, à des éléments mortels de plomb, d'arsenic et de
radium, tous cancérigènes. À cause des propriétés cumulatives de ces toxines, les effets
préjudiciables sur la santé humaine sont catastrophiques. ».
La maladie d'Alzheimer a été associée à l'aluminium et à l'aspartame.
Le Dr Limeback a fait un discours aux étudiants du Département de dentisterie de l'Université de
Toronto. Il leur a dit que, sans le vouloir, il avait induit en erreur ses collègues et ses étudiants.
Il avait refusé pendant quinze ans de prendre connaissance des études de toxicologie qui sont à la
disposition de tout le monde. « Empoisonner nos enfants était bien la dernière chose à laquelle
j'aurais pensé, a-t-il déclaré. La vérité fut une pilule amère à avaler, mais je l'ai avalée. ».
Et pourtant, bien que le plus grand partisan du fluor ait maintenant condamné son utilisation, les
associations dentaires des États-Unis et du Canada, les organisations pour la santé publique, avec
celles du Royaume-Uni et de partout ailleurs, continuent à dire aux peuples que le fluor est bon pour
eux. Ces organisations appartiennent toutes à l’oligarchie des « gouvernants ».
Leurs hommes en place dans les administrations médicales et les recherches scientifiques disent aux
médecins et aux dentistes « ce qui est vrai » et « ce qu'ils doivent croire ». À leur tour, ces derniers
le disent à leurs patients, et les médias se contentent de suivre la ligne officielle et le répètent comme
des perroquets.
Parce qu'il est rare que quelqu'un effectue ses propres recherches, dentistes, médecins, journalistes
ou particuliers, tout le monde accepte « le fait » que le fluor rajouté dans l'eau potable et au
dentifrice est bon pour les dents et sans danger.
Le même scénario se répète chaque jour à propos de n'importe quoi, et ainsi, la population humaine
vit dans son propre petit monde imaginaire. Cette illusion fabriquée est si bien ancrée dans la psyché
humaine, que même quand la vérité sort, la plupart des gens n'y croient pas. Il est nécessaire que les
personnes dont la santé est déjà dévastée par le fluorure, le Prozac et l'aspartame (entre autre),
entreprennent une action de groupe contre les autorités et les mènent devant les tribunaux.
Cela se passe déjà au Canada à cause de l'utilisation du mercure dans les amalgames dentaires, le
mercure étant un autre poison qui mine le système nerveux et détériore les fonctions intellectuelles.
Et là, nous avons encore ces mots qui reviennent constamment sur les effets secondaires des
médicaments, additifs alimentaires et autres produits chimiques dans notre alimentation :
ils affaiblissent et détériorent les fonctions intellectuelles.
Comme la vérité sur le fluor circule plus largement à présent, de nouvelles recherches ont
soudainement été effectuées révélant cette fois-ci que cela est bon pour arrêter la fragilisation des os
et réduire le risque de fractures. Cet argument a été utilisé pour exercer encore davantage de
pressions, permettant ainsi d'étendre l'utilisation du fluor dans l'eau potable.
Le fluor ne protège ni les dents, ni les os. Ce ne sont que des prétextes. Le fluor sert à
diminuer les fonctions intellectuelles de la population, afin que personne ne pense, ne
remette quoi que ce soit en question ou ne se rebelle.
*« En ce qui me concerne, après avoir siégé au sein du comité du NAS aux États-Unis, pendant plus
de trois ans, je considère que les données probantes indiquant que la fluoration est plus néfaste que
bénéfique sont accablantes. Les villes qui négligent de considérer TOUTES les données récentes
encourent le risque de poursuites légales futures. ». Dr. Hardy Limeback PhD, DDS
Professeur et Directeur du département de Médecine dentaire préventive de l'Université de Toronto
http://www.qve.qc.ca/afq/Articles/declaration-dr-limeback.htm
Il est temps de lancer cette alerte de santé publique, pour faire comprendre à nos
contemporains, l’imposture des dentifrices au fluor, et surtout le danger insidieux qui
consiste à en choisir un « le plus dosé » (donc « meilleur »)…
Aidez-nous à diffuser ce document !
Certains ne voudront pas comprendre, ne pas l’admettre, malgré les multiples scandales à
répétition… il faut croire que le fluor (notamment), aura déjà produit son effet sur eux…
Pensons aux autres !
Artémisia Collège
Infos annexes, pour (essayer de) comprendre (plus globalement) :
http://vivresansogm.org/piecesjointesdes/l-affaire-priore-document-exclusif.pdf
http://vivresansogm.org/piecesjointesdes/population-puces-et-illuminati.-une-seule-issue-.pdf
Il faut sauver le soldat Nicole DELEPINE (par le Dr Didier Moulinier) :
À lire, à faire connaître, et surtout à soutenir sans modération !
« La faute impardonnable du Dr Delepine, c’est d’avoir de meilleurs résultats en oncologie pédiatrique
que ses homologues. Dans le monde de la santé française on peut vous pardonner une erreur
médicale mais on fera tout pour vous éliminer si vous apportez, par vos résultats personnels, la
preuve d’être plus efficace et moins toxique que les caciques du monde médical. ».
http://dr.moulinier.fr/il-faut-sauver-le-soldat-nicole-delepine/
Références et documents annexes
Déclaration du Dr Hardy Limeback, incluant une déposition légale
Dans cette déclaration récente et à jour sur le plan scientifique, le Dr Limeback présente une
déposition légale sur la fluoration, avec des références tirées de la littérature scientifique. Lui-même
dentiste, il était autrefois chargé de promouvoir la fluoration artificielle de l'eau au Canada. Avec le Dr
Morin, le Dr Limeback est actuellement considéré comme le plus grand expert canadien sur la
fluoration. Il est le seul expert canadien à avoir été invité à participer à la révision scientifique de
2006, menée par l'Académie nationale des sciences des États-Unis, un exercice qui s'est étalé sur une
période de trois ans et demi. Cette révision à mené à la publication du rapport de 500 pages du NRC,
sur la toxicologie des fluorures. Comme le précise clairement le Dr Limeback dans sa déclaration, les
données scientifiques troublantes qu'il nous cite, ne sont pas de la pseudoscience, comme voudraient
nous le faire croire les promoteurs de la fluoration. Il nous met en garde :
« En ce qui me concerne, après avoir siégé au sein du comité du NAS aux États-Unis pendant plus de
trois ans, je considère que les données probantes indiquant que la fluoration est plus néfaste que
bénéfique sont accablantes. Les villes qui négligent de considérer TOUTES les données récentes
encourent le risque de poursuites légales futures. ».
Adaptation française: Action Fluor Québec
Déclaration du Dr Hardy Limeback 15 nov. 2011
J’ai siégé pendant 3 ½ ans au sein du sous-comité de la NAS (Académie nationale des sciences des
États-Unis) qui s’est penché sur le fluorure dans l’eau potable. La NAS est parfois dénommée la ‘Cour
suprême de la Science’. C’est une organisation qui met sur pied des comités non biaisés pour réviser
scientifiquement les questions qui préoccupent les Américains.
Notre rapport, publié le 22 mars 2006, est disponible en ligne :
http://www.nap.edu/catalog.php?record_id=11571
Notre comité a été financé par l’EPA (Agence environnementale des États-Unis). Nous n’avons pas
examiné les avantages de la fluoration, mais nous avons recensé toute la littérature pertinente sur la
toxicologie du fluorure, incluant l’ingestion à faible dose et les effets de la fluoration.
L’EPA a pris plus de cinq ans avant de répondre à notre rapport. Cette agence reconnaît maintenant
que le fluorure dans l’eau potable pose problème et elle a abaissé la concentration recommandée
dans l’eau potable à 0.7 mg/L (ppm). L’ADA (Association dentaire américaine) et le CDC (Centre de
contrôle des maladie), s’accordent tous deux sur le fait que l’on doit éviter d’utiliser l’eau fluorée dans
le lait maternisé, car cela augmente le risque de fluorose dentaire. Je considère que la fluorose
dentaire est le biomarqueur d’un empoisonnement au fluorure. En se limitant à suivre les
recommandations d’experts pro-fluoration, Santé Canada s’est trompé et n’a pas émis les mêmes
mises en garde. Cependant, Santé Canada n’est pas celle qui établit les politiques de fluoration, ni les
provinces. Ce sont les municipalités qui prennent la décision de fluorer en bout de ligne. À ma
connaissance, les fonctionnaire de la Santé publique n’ont fait aucun effort pour informer les femmes
enceintes (et celles ayant un nourrisson), qu’il faut éviter l’eau fluorée dans le lait maternisé. Cette
inaction est regrettable.
Pendant des années à l’Université de Toronto, j’ai étudié la fluorose (empoisonnement au fluorure) et
les effets de l’ingestion du fluorure sur les os. Dans une étude canadienne, nous avons comparé l’os
de la hanche de Torontois (fluorés depuis 1963) à celui de Montréalais (jamais fluorés) et avons
découvert une tendance troublante : des changements néfastes dans la qualité des os des Torontois.
Ceci N’EST PAS DE BONNE AUGURE.
Puisque nous avons travaillé avec un segment de la population qui avait été sélectionné pour le
remplacement de la hanche, nous n’avons pu examiner ceux qui sont exposés au fluorure toute leur
vie. Si cela avait été le cas, nous aurions découvert plus de dommages, car le fluorure s’accumule
avec les années (et notre étude l’a confirmé). Ce genre d’étude indique non seulement que le fluorure
injecté dans l’eau est la cause d’un émail défectueux (TRÈS cher à traiter), mais également de
dommages aux os.
Le comité du NAS a examiné toute la littérature traitant des effets du fluorure sur les os, jusqu’en
2006. Depuis lors, de nouvelles études sur la fluoration et les os, ainsi que ses liens avec le cancer,
ont été menées. Notre étude comparant Toronto à Montréal, publiée en 2010, n’a pas été incluse
dans la révision de 2006 de la NAS.
Je suis également co-auteur d’études qui démontrent qu’un excès de fluorure accumulé dans la
dentine des dents (le tissu sur lequel l’émail s’appuie), modifie ses propriétés. On n’a PAS démontré
que le fluorure est sécuritaire et efficace. En fait, à mesure que de nouvelles études toxicologiques
sont publiées, il est devenu clair que le vent tourne et que le fluorure ‘N’EST PAS sécuritaire et qu’il
n’est plus efficace’.
En tant que dentiste praticien, j’ai diagnostiqué des patients atteints de fluorose dentaire pendant
près de 20 ans. Ma recherche sur la fluorose dentaire (confirmée par le rapport du NRC de 2006 et
par la révision de York), démontre que la fluoration augmente significativement le nombre de patients
qui désirent faire réparer leurs dents, à grands frais. Aucun fonctionnaire de la Santé publique n’a
jamais tenu compte de ces coûts additionnels lors de la comparaison du rapport coûts/bénéfices de la
fluoration.
Le rapport du NRC (affilié à la NAS) de 2006 a également conclu que le fluorure peut possiblement
exacerber le cancer des os. On y énonce à la p. 336 que le "Le fluorure semble avoir le potentiel
d’initier ou d’exacerber les cancers, en particulier celui des os, mais la preuve est jusqu’à maintenant
provisoire et contradictoire (Tables 10-4 and 10-5)". Ce seul paragraphe devrait forcer l’EPA à établir
une cible du MCL (concentration maximale permise) pour le fluorure dans l’eau potable de ZERO
(idem à l’arsenic). L’EPA n’a pas encore pris de décision concernant l’effet cancérogène du fluorure.
J’ai examiné cette question sous tous les angles et j’en ai conclu que les villes fluorées épargneraient
en frais de fluoration, les parents épargneraient en coûts des traitements de la fluorose dentaire. Le
taux de carie, lui, resterait inchangé ou continueraient à chuter (tel que démontré par plusieurs
études modernes sur la cessation de la fluoration). La santé des citoyens s’améliorerait en mettant fin
à l’injection de fluorures chimiques (des déchets industriels) dans l’eau potable.
Il est absurde que des déchets industriels toxiques soient acheminés par camion pour être déversé
dans l’eau potable des grandes villes nord-américaines. Non seulement cela met sérieusement en
danger la santé des employés, mais en cas de déversement accidentel majeur, cela pourrait libérer
les émanations hautement toxiques de l’acide fluosilicique dans l’air, mettant en danger la vie des
gens.
Ce sont les municipalités qui prennent la décision de fluorer. Cela signifie que c’est la ville qui est
finalement responsable de la fluoration. Je n’ai pu trouver nulle part énoncé dans la loi ontarienne
(voir : http://www.e-laws.gov.on.ca/html/statutes/english/elaws_statutes_90f22_e.htm ) que les
villes doivent fournir une alternative à la fluoration, si le conseil municipal décide de mettre fin à cette
mesure.
Plusieurs villes canadiennes ont déjà décidé qu’il est inutile de continuer à fluorer l’eau. Québec,
Calgary et Waterloo ont récemment mis fin à cette pratique. Il ne subsiste aucun doute dans mon
esprit que l’efficacité de la fluoration à contrer la carie est quasi nulle.
Les données actuelles sont claires à ce sujet. Les études démontrent que l’arrêt de la fluoration ne
mène pas à une augmentation de la carie. En fait le taux de carie continue à chuter. Puisque
l’ingestion de fluorure retarde l’éruption des dents, les études qui ne tiennent pas compte de cet
effet sont erronées. Les auteurs de l’étude de York ont reconnu ce problème. Même cette dernière
étude est erronée à cause de cela. De plus, en faisant la révision systématique, ces auteurs ont
commis une grave erreur en estimant les bénéfices en faisant l’amalgame des études modernes et
anciennes, alors que le taux de carie était bien plus élevé à l’époque.
Ci-après, vous trouverez une discussion formelle (déposition légale) de ce qui vient d’être discuté,
mais avec des références tirées de la littérature scientifique. Les données scientifiques citées ne sont
pas de la pseudo-science, comme le prétendent les promoteurs de la fluoration.
Sincèrement, Dr Hardy Limeback BSc, PhD, DDS
Professeur et Directeur du département de Médecine dentaire préventive de l'Université de Toronto
124 Edward St. rm 455 - Toronto, Ontario, Canada - M5G-1G6
Ph: 416 979-4929
fax: 416 979-4936
cell: 647 680-4929
courriel: hardy.limeback@dentistry.utoronto.ca
Déposition légale du Dr Hardy Limeback
Directeur du département de Médecine dentaire préventive de l'Université de Toronto, professeur de
dentisterie, docteur en biochimie, dentiste avec 27 ans d’expérience et chercheur spécialisé sur la
formation des dents, des os et sur le fluorure.
Je suis l’un des 12 scientifiques qui a siégé sur le panel de la NAS (US National Academy of Sciences)
qui a publié en 2006 le rapport, "Fluoride in Drinking Water: A Scientific Review of the EPA's
Standards.” (Le fluorure dans l’eau potable: Une révision scientifique des normes de l’EPA)
Permettez-moi de présenter brièvement les arguments démontrant que la fluoration est une mesure
de santé publique inefficace et dangereuse.
1. La fluoration n’est plus/pas efficace
Le fluorure injecté dans l’eau cause l’éruption tardive des dents. Par conséquent, cela ne fait que
retarder la carie dentaire (Komarek et al, 2005, Biostatistics 6:145-55). Les études affirmant que la
fluoration est efficace datent de 25 ans et plus ; elles ont été menées avant l’utilisation à grande
échelle des dentifrices fluorés. Plusieurs études modernes concluent qu’il n’y a aucune différence
entre les taux de carie des zones fluorées et non fluorées. L’une de ces études a été menées en
Australie en 2004 (Armfield & Spencer, 2004 Community Dental Oral Epidemiology. 32:283-96).
Les études récentes sur la cessation de la fluoration de l’eau montrent que la fluorose dentaire (des
taches et des marbrures sur les dents) diminue, mais sans augmentation de la carie dentaire (ex :
Maupome et al 2001, Community Dental Oral Epidemiology 29: 37-47).
La Santé publique continue d’affirmer que le taux de carie est catastrophique. En Europe, le taux
moyen national de carie dentaire est passé de plus de 15 caries (dans les années 1940-50, avant les
dentifrices fluorés) à 2 caries par enfant (données de l’OMS) ; environ la moitié des enfants
grandissent sans avoir une seule carie dentaire. Dans la plupart des pays européens, ce succès
remarquable a été réalisé sans avoir recours à la fluoration. En fait, la "crise" de la carie si souvent
mentionnée, résulte en grande partie de l’abus de sucre, particulièrement les boisons gazeuses. Selon
un rapport de 2005 (Jacobsen, Center for Science in the Public Interest), les enfants américains
consomment de 40 à 44 % du sucre raffiné via les boissons gazeuses. Puisque la majorité de ces
boissons sont constituées d’eau fluorée, il est évident que le fluorure ne fait pas partie de la solution.
Les enfants défavorisés souffrant de carie sévère ont besoin d’assistance professionnelle et il appert
qu’ils n’y ont pas accès. Les familles défavorisées font de mauvais choix alimentaires et elles ne
peuvent se payer des soins dentaires. Les caries non traitées et le manque d’intervention
professionnelle résultent en davantage de caries. La révision de York n’a pas été en mesure de
démontrer que la fluoration est bénéfique pour les personnes défavorisées, pas plus que pour les
autres groupes de la population. La Révision de York, tout comme celles qui ont suivi, incluant la
Revue systématique australienne (Systematic Review of the Efficacy and Safety of Fluoridation)
http://www.nhmrc.gov.au/publications/synopses/eh41syn.htm
et celle de Santé Canada sur la fluoration de l’eau :
http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/water-eau/2008-fluoride-fluorure/index-eng.php
ont été incapables d’identifier une seule étude clinique menée en double aveugle et randomisée qui
soit en mesure de prouver que la fluoration fonctionne, après correction du régime alimentaire et du
retardement de l’éruption des dents.
Cela signifie que les examinateurs ont échoué dans leur démonstration des données probantes
exigées en Amérique du Nord lors de l’homologation d’un médicament. Qui plus est, la majorité des
examinateurs admettent que la preuve de sûreté est insuffisante, puisque les essais cliniques
correctement effectués n’avaient pas pour but de mesurer les effets indésirables sur la santé.
À ce jour, aucune des revues de la littérature n’a abordé la question suivante : la fluoration est-elle
en mesure de réduire la prévalence ou la sévérité de la carie dentaire chez les nourrissons (ceux qui
peuvent être affectés par la "carie du biberon") ? En Amérique du Nord, un large pourcentage des
dentistes refusent les patients subventionnés par le gouvernement, parce qu’ils gagnent moins
d’argent en le faisant. Selon mon expérience, plusieurs dentistes appuient la fluoration parce qu’elle
leur donne bonne conscience et les libère de leur responsabilité envers ceux qui ne peuvent se
permettre des soins dentaires. En fait, des "crises" dentaires similaires ont été rapportées dans les
villes qui sont pourtant fluorées depuis des années.
Je considère que les fonctionnaires de la Santé publique chargés des programmes communautaires
trompent le public lorsqu’ils affirment que boire du fluorure "rend les dents plus résistantes". Le fluor
n’est pas un nutriment essentiel. Avant l’éruption des dents dans la cavité buccale, le fluorure ne rend
pas les dents en croissance plus résistantes à la carie. Le bénéfice minime que l’eau fluorée pourrait
encore avoir sur les dents résulte (sans utilisation de dentifrice fluoré) de l’exposition "topique" (en
surface) lorsque les dents sont exposées quotidiennement à un environnement acide causé par le
sucre et l’amidon (Limeback 1999, Community Dental Oral Epidemiology 27: 62-71), ce point est
désormais reconnu par le CDC (Centers for Disease Control).
2. La fluoration est la cause principale de la fluorose dentaire
Il est impossible de contrôler la dose de fluorure ingérée par l’utilisateur final, même à une
concentration de fluorure de 1 ppm (partie par million) dans l’eau potable. Les bébés et les tout petits
peuvent ingérer trop de fluorure lors que l’eau fluorée est utilisée dans le lait maternisé (Brothwell &
Limeback, 2003 Journal of Human Lactation 19: 386-90). Puisque la majorité du fluorure ingéré
provient de l’eau fluorée, le risque de fluorose dentaire augmente fortement dans les zones fluorées
(National Academy of Sciences: Toxicological Risk of Fluoride in Drinking Water, 2006). L’ADA
(American Dental Association) et le Forum dentaire irlandais ont tous deux admis que l’eau fluorée ne
doit pas être utilisée pour reconstituer le lait maternisé.
Depuis le tout début de la fluoration de l’eau dans les années 1940, l’exposition au fluorure a triplé.
Désormais, un enfant sur trois est affecté par la fluorose dentaire (CDC, 2005). La fluorose n’est pas
seulement un effet cosmétique. Les formes les plus sévères sont associées à une augmentation de la
carie (NAS: Toxicological Risk of Fluoride in Drinking Water, 2006) et les impacts psychologiques chez
les enfants sont négatifs. La majorité des enfants atteints de fluorose dentaire modérée à sévère
(dont la prévalence est supérieure dans les zones fluorées et dont le nombre n’est pas négligeable en
terme de pourcentage de population affectée) cherchera à restaurer ses dents, faisant appel à un
important travail de réparation coûtant des milliers de dollars par patient. On peut réduire la fluorose
dentaire en fermant le robinet de la fluoration et ce, sans augmenter le taux de carie dentaire (Burt et
al 2000 Journal of Dental Research 79(2):761-9).
3. Les fluorures chimiques n’ont pas été testés pour en assurer la sûreté
Toutes les études animales sur le cancer ont été menées en utilisant du fluorure de sodium. Les
données sont plus que suffisantes pour conclure que même ce composé de fluorure peut favoriser le
cancer car il s’accumule dans les os jusqu’à des concentrations potentiellement cancérigènes (NAS:
Toxicological Risk of Fluoride in Drinking Water, 2006). Certaines communautés injectent du fluorure
de sodium dans l’eau potable, mais ce produit diffère de celui utilisé dans les dentifrices. La majorité
des villes utilisent de l’acide fluosilicique (ou l’un de ses sels). Le H2SiF6 est un produit chimique
concentré directement à partir du système épurateur installé dans les cheminées, lors de la
production des fertilisants phosphatés ; ce produit est acheminé vers les usines de traitement d’eau
et est directement déversé dans l’eau potable. Il s’agit d’un fluorure de qualité industrielle et
contaminé avec des traces de métaux lourds tels que le plomb, l’arsenic et le radium. Ces polluants
sont nocifs pour les êtres humains et ce, à la concentration injectée dans l’eau potable.
De plus, l’utilisation de l’acide fluosilicique de qualité industrielle fait augmenter le risque de
plombémie chez les enfants (Masters et al 2000, Neurotoxicology. 21(6): 1091- 1099), car il est
probable que ce produit réagisse avec le plomb dans les conduites des vielles maisons. Cet effet n’a
pas pu être écarté par le CDC dans une étude récente (Macek et al 2006, Environmental Health
Perspectives 114:130-134). Aucun de ces problèmes n’a jamais été considéré dans le cadre des
révisions mandatées par les gouvernements.
4. La fluoration de l’eau est associée à de sérieux risques de santé
Cancer : L’ostéosarcome (cancer des os) chez les jeunes garçons est l’un des risques identifiés par
une étude de l’Université Harvard (Bassin, Cancer Causes and Control, 2006). L’auteur de cette
étude, le Dr. Elise Bassin, reconnaît que c’est possiblement l’utilisation des fluorures contaminés (voir
plus haut) qui explique l’augmentation de 500% du risque de cancer chez les jeunes garçons. L’étude
tant attendue qui a été publiée par son ancien directeur de thèse doctorale (le Dr. Chester Douglass)
n’a en aucune manière réfuté cette découverte. En 2006, en attendant la version finale de l’étude de
Harvard, le comité du NAS (National Academy of Sciences) a hésité à désigner le fluorure comme
substance potentiellement cancérogène. L’étude a maintenant été publiée et donc rien n’a changé en
ce qui a trait aux risques (Kim FM et al. 2011, J Dent Res. 90(10):1171-6).
Fracture des os : Boire en moyenne 1 litre/jour d’eau naturellement fluorée à 4 ppm augmente le
risque de douleur et de fracture des os (National Academy of Sciences: Toxicological Risk of Fluoride
in Drinking Water, 2006). Puisque le fluorure s’accumule dans les os, le même risque existe chez ceux
qui boivent 4 litres/jour d’eau artificiellement fluorée à 1 ppm, tout comme chez les malades du rein.
De plus, les Anglais sont connus pour leur coutume à boire du thé et puisque le thé contient du
fluorure, l’eau fluorée place les buveurs de thé dans une situation dangereusement proche de la limite
associée aux fractures des os.
Nous avons récemment publié une étude sur le fluorure et les os. Cette étude (Chachra et al, J Dent
Res 89(11):1219-1223, 2010) a trouvé qu’il existe une tendance nocive en ce qui a trait aux
changements observés dans les os des Torontois qui n’ont vécu qu’une partie de leur vie dans cette
ville fluorée. Les études sur la fluoration n’ont jamais démontré convenablement que le fluorure est
sécuritaire chez les individus qui ne peuvent contrôler la dose, ni chez les patients qui l’éliminent
difficilement.
Effets nocifs sur la fonction thyroïdienne : Le rapport de la NAS (National Academy of Sciences)
(NAS: Toxicological Risk of Fluoride in Drinking Water, 2006) présente avec moult détails les effets
néfastes du fluorure sur le système endocrinien, en particulier la glande thyroïde. La fluoration devrait
être stoppée rien qu’en se basant sur le fait que la fonction endocrine n’a jamais été étudiée en
relation à l’ingestion du fluorure.
Effets neurologiques indésirables : En plus de l’accumulation de plomb (une neurotoxine
reconnue) chez les enfants des villes fluorées, le fluorure est neurotoxique. Nous commençons à
peine à comprendre comment le fluorure affecte le cerveau. De plus, plusieurs études récentes
suggèrent que le fluorure dans l’eau fluorée réduit l’intelligence (réduction du QI) (NAS,
2006). Il est nécessaire d’étudier cette question plus en profondeur.
En ce qui me concerne, après avoir siégé au sein du comité du NAS aux États-Unis pendant plus de
trois ans, je considère que les données probantes indiquant que la fluoration est plus néfaste que
bénéfique sont accablantes. Les villes qui négligent de considérer TOUTES les données récentes
encourent le risque de poursuites légales futures.
Dr. Hardy Limeback PhD, DDS
Professeur et Directeur du département de Médecine dentaire préventive de l'Université de Toronto
Comment nier aujourd'hui les dangers du fluor ?
Dans "Union News" tirage à part du Washington Post du 25/07/97, l’article "votre dentifrice est-il sûr"
cite cette phrase de Regine Miskewitz, directrice de la recherche des cosmétiques et soins de bouche
chez ARM et AMMER "quand je reçois du fluor, ici, il porte la tête de mort et les tibias croisés"
1- "50 raisons de s'opposer à la fluoration" - Un article fourni :
http://www.amessi.org/50-Raisons-de-s-opposer-a-la-fluoation
2- "Le fluor et l'aluminium" :
Sources : Les Echos, n°17789 à 17792, décembre 1998
Facteur X, n°12
Médecines Nouvelles, n°90, 1998
L’EXPRESS, n°2482, janvier 1999
France Soir, 25/09/98, 14/10/98, 22/10/98, 19/11/98
Sonia Deffrennes pour www.ADAPA.org
Le Fluor
Le fluor apparut dans les années 50 comme un progrès dans le combat contre les caries et la plaque
dentaire. Il fut introduit dans la composition des pâtes dentifrices et le réseau de distribution d’eau
courante sous forme d’antiseptique (acide hexafluorosilicique). Mais seules des doses réduites
permettent une action positive du fluor.
L’accumulation à long terme de cette substance engendre des effets néfastes en matière de santé, tel
que la destruction de l’émail des dents, le développement de maladie telle que l’ostéoporose, de
troubles cardiaques et psychiques, et même de dégâts génétiques. Les effets toxiques du fluor à
haute dose ne sont plus remis en doute quand on sait qu’il entre dans la composition des insecticides
et des bactéricides.
Les effets psychiques, quant à eux, ont été démontrés par les savants Allemands à la solde d’Hitler.
Le 3e Reich donna l’ordre aux usines chimiques I.G. Farben, basées à Francfort, de produire du fluor
en quantité. Celui-ci devait être mélangé à l’eau potable destinée aux prisonniers des stalags. Cette
distribution avait pour but de maintenir la discipline dans les camps, grâce aux effets sédatifs du
fluor. Le Tribunal de Nuremberg mit en évidence la culpabilité 24 responsables I.G. Farben pour
divers crimes commis durant les années de guerre, et scinda la société en trois entités distinctes :
BASF, BAYER et HOECHST. Les responsables d’I.G. Farben de l’époque furent libérés par le Ministre
des Affaires Etrangères des USA et partenaire commercial, Nelson Rockefeller, et leurs homologues,
anciens membres du parti Nazi, financèrent à partir de 1959 le jeune Helmut Kohl.
Le Fluor et l’Aluminium danger
De nos jours...
On compte sur le marché plus de soixante tranquillisants, plus ou moins puissants selon la proportion
de fluor qu’ils contiennent. La concentration maximale autorisée dans l’eau distribuée dans nos
robinets est de 1500 microgramme par litre, mais elle est régulièrement dépassée. Un nouveau
matériau d’obturation de la carie dentaire, la Définite (mis au point par la société Degussa en
Allemagne), arrive sur le marché. Ce matériau, de par sa composition, rejette des ions de fluor dans
la bouche, et est capable de se recharger en fluor par l’alimentation ou la pâte dentifrice.
Les puissances financières colossales que constituent les industries chimiques et pharmaceutiques, et
leur mainmise sur de multiples secteurs de l’activité économique de nombreux pays, assurent
désormais leur suprématie sur l’ensemble des individus et des états, par une désinformation
permanente du grand public, par le financement de leurs propres laboratoires de recherche et
contrôle, et en "arrosant" certaines personnes dans les hautes sphères du pouvoir.
Premier exemple :
BAYER (Allemagne), 14éme groupe pharmaceutique mondial en 1997 possède 6 secteurs d’activité :
produits agricoles, produits organiques, produits pharmaceutiques, produits industriels, polymères,
techniques de l’information.
Deuxième exemple :
SANOFI (France), 18éme groupe pharmaceutique mondial en 1997, est sous le contrôle de L’Oréal
(19,4%) et du groupe ELF (35,1%)... un groupe qui a des relations "intimes" avec la gent étatique.
L’aluminium
On a pu voir, l’année dernière, dans l’actualité, des avertissements quant à des contenances
d’aluminium à des doses dépassant de 30 fois la norme dans l’eau de nos robinets. Ces
avertissements étaient le fruit d’une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche
médicale (INSERM). L’INSERM avait déjà communiqué les premiers résultats de ses recherches en
1994 et en 1996.
Toutes ces mises en garde sont restées lettre morte. Pourtant l’aluminium est un neurotoxique qui
peut être à l’origine de démences dégénératives, de fragilisations osseuses ou d’accidents cardiaques,
car il s’accumule dans le cerveau, les os et les muscles. Le nombre de malades d’Alzheimer est
proportionnel à la quantité d’aluminium dans l’eau potable.
La présence d’aluminium dans l’eau du robinet est le résultat de l’utilisation de sulfate d’alumine, dans
les stations d’épuration, au moment de l’opération dite de "floculation" qui vise à purifier l’eau de
certaines impuretés, des particules argileuses notamment. D’autres produits aussi efficaces, et
inoffensifs, pourraient être utilisés, mais leur coût serait supérieur. De plus, la présence d’aluminium
ne se cantonne pas seulement dans l’eau de nos robinets, mais se retrouve aussi dans les canettes de
bière et de sodas, dans les rouleaux d’emballage, dans les casseroles, dans les tubes de sauces et de
pâtes dentifrices, les ustensiles de cuisines.
L’impact économique et sanitaire d’une confirmation de l’étude citée plus haut serait catastrophique.
La pression des lobbys des industriels, tel que Pechiney, l’un des principaux producteurs français
d’aluminium, et de la Lyonnaise des Eaux ou encore de Vivendi (ex-Générale des Eaux) explique la
minimisation de l’étude par les différents ministères concernés.
Pechiney est une entreprise dont la majeure partie du capital est détenue par des actionnaires
institutionnels français (21,9%) et étrangers (48%), ainsi que Suez-Lyonnaise des Eaux (30% ;
30%), et Vivendi (24,5% ; 45,6%).
La panique boursière qu’engendrerait une annonce négative confirmée sur les effets alarmants de
l’aluminium sur la santé publique signerait probablement la mise à mort de ces grands groupes, de
par la fuite des capitaux qu’elle provoquerait.
Mais Suez-Lyonnaise des Eaux est actionnaire à 34,5% de la chaîne de télévision M6 et à 25% de
TPS. Vivendi possède 52,6% de Télé Monte Carlo et 34% de Canal +, qui possède lui-même 70% de
Canal Satellite. Voilà démontrée la dangerosité que représente la prise de pouvoir médiatique par les
grands groupes industriels.
Le lien entre le fluor et l’aluminium
Le fluor est un des principaux dérivés de la fabrication de l’aluminium. Il a fallu rechercher des
débouchés lucratifs à ces déchets fluorés. Le lobby industriel et financier a alors financé des études
attestant l’innocuité des produits fluorés ainsi que leurs effets bénéfiques à faible dose qui ont été mis
en valeur. Il en a été de même de l’aluminium.
L’Express (n° 2482, février 1999), se veut rassurant quand il affirme sous la plume de Vincent Olivier
:" Il faut être clair : on ne risque pas de mourir en buvant de l’eau du robinet ". Mais quel crédit
accorder à un magazine sous la propriété de Havas, absorbée elle-même par la Compagnie Générale
des Eaux (devenue Vivendi le 15 mai 1998).
Comment ne pas s’interroger sur la possibilité que la fluorisation généralisée ne soit qu’une forme de
contrôle social, de par l’effet sédatif qu’elle engendre.
Les intérêts en jeu dans cette affaire sont énormes, les effets sanitaires et psychiques ne le sont pas
moins.
Le fait que l’utilisation du fluor et de l’aluminium ne cesse de se développer depuis les années 50, et
cela dans l’indifférence générale malgré les nombreux avertissements lancés par des personnes
qualifiées en la matière, prouve bien l’efficacité de l’effet annihilant du fluor sur l’esprit critique de
tout à chacun.
Le maintient du statu quo grâce à la désinformation sur des sujets aussi importants alimente l’apathie
de la masse somnolente, ce qui ne fait que servir les intérêts de ceux qui détiennent le pouvoir, qu’il
soit économique ou politique.
3- Pourquoi le Fluor est-il dangereux pour la santé ?
http://www.amessi.org/Danger-du-Fluor
Il faut savoir que toutes les intoxications par le fluor génèrent des troubles psychiques graves
pouvant conduire à la perte de la volonté, voire de la folie, surtout lorsque cette intoxication se
produit pendant la phase de croissance. Ce n’est pas pour rien que l’eau de boisson ne doit
absolument pas dépasser un seuil critique de fluor pour être potable.
D’autre part, rappelons que "le fluor désorganise la structure minérale des dents et de l’ossature,
favorisant des microfractures au niveau du squelette"... Il agit lentement et en profondeur et favorise
ainsi les scolioses, les cyphoses, l’hyperlaxité ligamentaire et la dégénérescence accélérée de
l’organisme (Source : "des clefs pour vivre" du Docteur Alain Scohy).
Sur le site internet de Project Censored, nous trouvons encore des infos passionnantes sur ce thème,
notamment que des documents gouvernementaux, longtemps restés secrets jettent un rayon de
lumière sur le débat concernant la fluoration de l’eau potable et ajoutent aujourd’hui un grand
nombre de preuves scientifiques concernant les effets du fluor sur la santé. Ainsi, dans les années
1940 les scientifiques du Manhattan Project considérait qu’à faible dose le fluor ne comportait aucun
risque pour l’organisme. On sait aujourd’hui que les chercheurs avaient reçu l’ordre de cacher les
preuves des dangers du fluor et ses taux de toxicité pour éviter d’être poursuivi en justice par les
victimes (source : www.sonoma.edu/projectcensored)
A l’automne 99, le Earth Island Journal publiait une info selon laquelle le chirurgien dentiste Hardy
Limeback, Pdt de l’association des dentistes canadiens annonçait qu’il n’était plus en faveur de la
fluoration de l’eau potable et que l’absorption de fluor présentait très peu d’intérêt pour les dents, à
supposer même qu’elle en présentât un et qu’aujourd’hui les risques l’emportent sur les bénéfices,
puisque le fluor a un effet néfaste sur les dents et les os.
Au fait le Téflon ou Tefal qui recouvre le fond de votre poêle à frire est du PTFE, c’est à dire du
Polytétrafluoréthylène, c’est à dire une "résine fluorée" ou du fluor mélangé à du plastique - (source
Paul Caldwallader - pjcaddz@vienet.net.au)
Dans "Secrets toxiques : Le Fluor et le programme de la Bombe A", les journalistes C. Bryson et J.
Griffitns écrivent "la preuve que le FLUOR est inoffensif pour les êtres humains à faibles doses a été
en grande partie fabriquée par des scientifiques qui travaillaient sur le programme de la bombe A et
qui avaient des ordres du gouvernement US de fournir, en cas de litiges des preuves à opposer au cas
où le Fluor provoquerait des dommages aux citoyens".
Selon Nina Silver (mail : nina@bestweb.net) c’est effectivement, de manière indésireuse que le fluor
a été introduit sur le marché et vanté comme agent de prévention des caries dentaires. Malgré tout il
faut savoir que le fluor servait d’élément important à la fabrication des bombes A pendant la guerre,
et que d’autre part, le fluor est un sous produit des industries de l’aluminium et des pesticides. Les
fermes qui se trouvaient à proximité des usines fabriquant le fluor avaient des récoltes brûlées et
flétries, et des animaux toujours malades. Les ouvriers eux-mêmes travaillant à l’usine avaient de
dangereuses concentrations de fluor dans le sang.
En outre, les tests effectués par le gouvernement US ont démontré que le fluor était très toxique et
provoquait, entre autre, des lésions du système nerveux central, des malformations de naissance et
contrairement à ce qui est toujours affirmé, tache et détruit les dents au lieu de la préserver.
D’ailleurs, la loi américaine précise que tout dentifrice contenant du fluor doit mettre en garde le
consommateur qui, s’il avale accidentellement plus de dentifrice qu’il n’en faut pour le brossage des
dents doit "immédiatement consulter un médecin ou contacter un centre anti poison".
Dans "Union News" tirage à part du Washington Post du 25/07/97, l’article "votre dentifrice est-il sûr"
cite cette phrase de Regine Miskewitz, directrice de la recherche des cosmétiques et soins de bouche
chez ARM et AMMER "quand je reçois du fluor, ici, il porte la tête de mort et les tibias croisés"
Un autre témoignage enfin, celui de John Yiamouyiannis : "Le fluor : facteur de vieillissement"
(Fluoride : the Aging Factor, 1986) dans cet ouvrage qui eut un gros succès, l’auteur, biochimiste,
décrit les effets nocifs et dévastateurs du fluor dans le monde entier, ceux d’un dangereux poison.
Dans son livre, il cite de nombreux cas d’enfants présentant de graves symptômes ou ayant même
trouvé la mort après ingestion de fluor sur le fauteuil du dentiste. Il cite les recherches menées dans
divers pays (URSS, Japon, Af. du Sud, USA,...) par un grand nombre de chercheurs qui tous ont
mentionné les défectuosités génétiques et les maladies imputables au fluor. Et le fluor n’est pas
seulement présent dans le dentifrice, mais aussi dans l’eau de boisson.
Dans toutes les villes des USA, l’augmentation de la teneur de l’eau potable en fluor a
correspondu à une augmentation de la mortalité par cancer du foie, cancer des os, et
tumeurs des cellules squameuses de la bouche ; autres méfaits : convulsions, os
douloureux, éruptions cutanées, problèmes gastro-intestinaux, nausées et vomissements.
Le fluor s’accumule dans la glande pinéale
Le fluor, ajouté à l'eau du robinet dans de nombreuses villes et comtés, et vendu par WalMart dans
son eau pour nourrissons, a tendance à s'accumuler dans les dents en croissance, provoquant leur
décoloration, et dans les os, les fragilisant. Ce minéral, lié au cancer, s'accumule aussi dans la glande
pinéale, un centre de contrôle hormonal important, où elle fait des ravages considérables. Paul
Connett, de Fluoride Action Network discute ici de l'étude de Jennifer Luke qui fait partie de sa thèse
de doctorat et qui vient d'être publiée par Caries Research sous le titre : Le dépôt de fluor dans la
glande pinéale de la personne âgée.
Le fluor est un poison, et pourtant nous l'ajoutons à notre eau et à nos dentifrices, on dit même
parfois que c'est un complément alimentaire, bien qu'il n'ait aucune valeur nutritive. Sa valeur
thérapeutique - la prévention des caries dentaires - est officiellement la raison pour laquelle on ajoute
ce minéral toxique à l'eau du robinet. Mais ses effets secondaires toxiques sont bien plus importants,
comme l'a amplement documenté Paul Connett dans sa Déclaration d'intérêt.
La récente législation de l'Union européenne sur les compléments alimentaires inclue le fluor dans la
liste des éléments essentiels à apporter comme supplément. C'est quelque peu ironique quand on
pense à l'inquiétude feinte des législateurs européens "pour la toxicité présumée des vitamines et
leurs efforts pour limiter les doses de ces nutriments vitaux, afin de "protéger la santé publique."
Nous utilisons aussi le fluor dans de nombreux objets du quotidien, comme les poêles anti-adhésives,
les tissus high-tech imperméables, etc. Quelques voix timides se sont tout de même récemment
élevées pour évaluer l'impact sur la santé que cause le fluor. Le Journal of Water Health a publié
un article portant sur ces recherches. Pendant ce temps, aux États-Unis, la FDA a décidé de permettre
l'ajout du fluor dans l'eau en bouteille, peut-être par égard envers les offres de WalMart.
L'utilisation du fluor pour des raisons de "santé" est l'une des plus grandes folies de notre temps.
Serait-ce par hasard que les Allemands et les Russes ont tous deux utilisé le fluor pour rendre les
prisonniers stupides et dociles, ou que le gouvernement américain a été poursuivi pour les effets
toxiques dans l'environnement de ces sous-produits de déchets nucléaires ?
Les pressions visant à "enrichir" notre eau et notre nourriture en fluor ne sont certainement pas sans
raisons cachées qui n'ont rien à voir avec la santé. Quoi qu'il en soit, la campagne pour la fluoration
bat toujours son plein et les autorités sanitaires soutiennent ce poison comme si leur salaire mensuel
en dépendait.
La thèse de Jennifer Luke sur le fluor et son accumulation dans la glande pinéale, est peut-être
l'étude qui, pour Paul Connett, fera déborder le vase :
Le fluor et la glande pinéale : Étude publiée dans Caries Research
Les moulins de la science tournent très lentement. Finalement, la première moitié du travail qui fut
l'objet de la thèse de Jennifer Luke ; l'exposé à Bellingham, Washington (conférence ISFR) en 1998 et
une interview filmée que j'ai faite avec elle (voir Fluoride Alert), a été publiée par Caries Research.
De mon point de vue, ce travail est d'une importance fondamentale et pourrait être (ou devrait être)
la goutte scientifique qui fait déborder le vase de la fluoration.
Quand Luke a découvert que la glande pinéale - une petite glande dans le centre du cerveau,
responsable de la régulation d'un grand nombre de fonctions (elle produit la sérotonine et la
mélatonine) - est aussi un tissu qui se calcifie, comme les dents et les os, elle émit l'hypothèse qu'elle
concentre aussi le fluor à des niveaux très élevés. La glande n'est pas protégée par la barrière
hémato-encéphalique et a un très haut débit de perfusion sanguine, devancé seulement par les reins.
Luke a fait analyser 11 corps au Royaume-Uni. Comme elle l'avait prévu, elle découvrit des niveaux
astronomiques de fluor dans les cristaux d'hydroxyapatite de calcium produits par la glande. La
moyenne était de 9 000 ppm, allant jusqu'à 21 000 dans un cas. Ces niveaux sont équivalents ou plus
élevés que ceux des os des personnes atteintes de fluorose osseuse. Ce sont ces découvertes qui
viennent d'être publiées.
Ce sont les répercussions de ces découvertes qui n'ont pas encore été publiées. Dans la seconde
moitié de son travail, elle traita des animaux (gerbilles de Mongolie) au fluor dans une unité de
recherche sur la glande pinéale de l'Université de Surrey, en Angleterre (on ne peut donc pas douter
de la qualité de son travail). Elle a constaté que la production de mélatonine (telle que mesurée par la
concentration d'un métabolite de mélatonine dans l'urine) était plus faible chez les animaux traités
avec de fortes doses de fluor que chez ceux traités avec de faibles doses.
Luke émit l'hypothèse que l'une des quatre enzymes nécessaires à la conversion de l'acide aminé
tryptophane (présent dans l'alimentation) en mélatonine est inhibée par le fluor. Ce pourrait être l'une
des deux enzymes qui convertissent le tryptophane en sérotonine ou l'une des deux autres qui
convertissent la sérotonine en mélatonine.
L'importance ? Énorme. La mélatonine est responsable de la régulation de toutes sortes de fonctions
et une grande quantité de travaux se penchent sur son rôle potentiel dans le vieillissement, le cancer
et de nombreux autres processus vitaux. Une des fonctions qui intéresse particulièrement Luke, est le
déclenchement de la puberté. Les niveaux les plus élevés de mélatonine (produits seulement la nuit)
se rencontrent chez les jeunes enfants. On pense que c'est la chute de ces niveaux de mélatonine
agissant comme une horloge biologique qui déclenchent le début de la puberté. Dans son étude sur
les gerbilles, elle constata que les animaux traités avec de fortes doses de fluor atteignaient la
puberté plus tôt que ceux traités avec de faibles doses.
Nous savons par des études récentes - et une couverture médiatique considérable - que les jeunes
filles atteignent de plus en plus tôt la puberté aux États-Unis. Luke n'affirme pas que le fluor (ou la
fluoration) en est la cause, mais son travail est un signal d'alarme très préoccupant. Le rôle du fluor
dans la puberté demande une enquête plus approfondie. Il est intéressant de noter que lors du
combat sur la fluoration entre les villes de Newburgh et Kingston (1945-1955), il fut constaté que les
filles de Newburgh buvant de l'eau fluorée avaient leurs premières menstruations en moyenne cinq
mois avant les filles de Kingston buvant de l'eau non-fluorée, mais on pensa à l'époque que ce n'était
pas important (Schlessinger et al, 1956).
Si l'on considère la gravité de la possible interférence du fluor sur la glande pinéale d'un enfant en
croissance (et d'ailleurs aussi sur les glandes pinéales des personnes âgées), on perçoit toute
l'imprudence de la fluoration. Le principe de précaution, de même que le bon sens, voudrait
qu'on ne prenne pas ces risques sur les enfants pour un bénéfice qui, au mieux, s'élève à
0,6 surface dentaire sur 128 surfaces dentaires dans la bouche de l'enfant (Brunelli et Carlos,
1990, tableau 6).
Je possède un exemplaire de la thèse de Luke et je suis prêt à le partager avec ceux qui ont un
intérêt scientifique sérieux en ce sujet. Vous pouvez retrouver les autres références citées ici dans ma
Déclaration d'intérêt également publiée sur la page de Fluoration Action Network.
http://fr.sott.net/article/1109-Le-fluors-accumule-dans-la-glande-pineale

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