Une décision de la Cour suprême des États-Unis a forcé l' institution Smithsonian à libérer des documents datant du début des années 1900 qui prouve que l'organisation a été impliqué dans un important travail de dissimulation de preuves montrant des restes d' humains géants .
Des dizaines de milliers d' ossements avaient été découverts partout en Amérique et ont été condamnés à être détruits par les administrateurs de haut niveau pour empêcher les citoyens de remettre en cause la chronologie de l'évolution humaine.
Les allégations de l'institution américaine de l' Archéologie alternative (AIAA):
Le Smithsonian Institution àdétruit des milliers de restes humains géants au début des années 1900.
Le Smithsonian à répondu en poursuivant l'organisation pour diffamation et ont essayer de salir sa réputation.
Pendant le procès, de nouveaux éléments ont été mis en lumière. Plusieurs dénonciateurs du Smithsonian ont admis l'existence de documents qui auraient prouvé la destruction de dizaines de milliers de squelettes humains atteignant entre 6 pieds et 12 pieds de hauteur. Une réalité archéologique que ne peut admettre le smithsonian, affirme le porte-parole AIAA, James Churward.
Le point culminant de l'affaire judiciaire à été un long fémur humain d' 1,3 mètres qui a été présenté comme preuve, devant un tribunal, de l'existence de ces ossements humains géants.
La preuve est venue comme un coup dur pour les avocats de la Smithsonian. L'os avait été volé du Smithsonian par un de leurs commissaires de haut niveau dans les années 1930. Il avait gardé le secret toute sa vie et avait admis sur son lit de mort, par écrit,les opérations d'infiltration de la Smithsonian.
C'est une chose terrible qui à été fait au peuple américain", a- t-il écrit dans la lettre. "Nous nous cachons la vérité sur les ancêtres de l'humanité, nos ancêtres, Des géants qui parcouraient la terre, comme le dit la Bible et les textes anciens du monde".
La Cour suprême américaine à, depuis, forcé la Smithsonian Institution à publier les informations classifiées à propos de tout ce qui touche à la «destruction des éléments de preuve relatives à la culture des constructeur de monticules» et à des éléments "en rapport aux squelettes humains de plus grande hauteur que d'habitude", une décision qui à ravit l'AIAA.
La publication de ces documents aidera les archéologues et les historiens à réévaluer les théories actuelles sur l'évolution humaine, et nous aideront à comprendre la culture des bâtisseurs de monticules en Amérique et dans le monde», explique le directeur de l' AIAA, Hans Guttenberg.
"Enfin, après plus d'un siècle de mensonges, la vérité sur nos ancêtres géants sera révélée au monde", reconnaît-il, visiblement satisfait de la décision du tribunal.
Les documents sont programmés pour être publié en 2015 et l'opération sera coordonnées par un organisme scientifique indépendant.
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