Un documentaire sur la DMT.

Certaines recherches tendent à montrer que la DMT est produite naturellement en très petites quantités par la glande pinéale, connue également sous le nom d'épiphyse. Habituellement, cette glande produit de la mélatonine, molécule de l'horloge biologique, mais avec un fort stress hormonal, elle stoppe cette synthèse pour produire de la DMT endocrine. Plusieurs recherches sur les phénomènes de DMT endocrines sont en cours au Centre national d'étude, de recherche et d'information sur la conscience (CNERIC) situé en Suisse et par le professeur Rick Strassman avec la Cottonwood Research Foundation.

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Etudes scientifiques

En 1990, le Dr. Rick Strassman, professeur de psychiatrie à l’Université du Nouveau-Mexique et auteur du livre: The Spirit Molecule, initie une étude visant à déterminer si l’injection de cette molécule a des applications médicales et thérapeutiques. Un phénomène inattendu se manifesta : sous DMT, les sujets entrèrent en contact avec des entités surnaturelles, non-physiques douées de conscience, de volonté et d’intelligence, souvent plus évoluées que nous !

Les récits livrés par les volontaires sont étonnamment identiques, avec des environnements, des entités et des thèmes semblables d’un sujet à l’autre et recoupent également les études des récits d’abduction tels que recueillis par Budd Hopkins, David Jacobs ou John Mack.

La Science est incapable d’expliquer pourquoi des individus de cultures différentes, de parcours de vie différents expérimentent les mêmes visions, observent les mêmes entités au détail près.

Le docteur Strassman conclut que le DMT permet à la conscience d’accéder à d’autres plans de réalité, nous pouvons alors concevoir le cerveau comme un récepteur d’informations dont la chimie serait affectée par la quantité de DMT absorbée ou sécrétée. La fréquence de réception serait modifiée et permettrait d’accéder à d’autres plans de réalité, inaccessibles par la conscience en état normal.Sous DMT, il est également courant que les sujets observent des formes et des objets évoquant le thème de l’ADN. Pablo Amaringo, célèbre peintre péruvien à représenté ses visions sous DMT en peinture, on peut y apercevoir des soucoupes volantes ainsi que des racines entrelacées, évoquant l'ADN.

En 1999, trois biologistes moléculaires occidentaux ont participé à une cérémonie d’Ayahuasca sous la direction d’un chaman en Amazonie péruvienne. Deux d’entre eux ont eu des contacts avec des plantes-enseignantes se présentant sous la forme d’entités indépendantes.

Un biologiste américain spécialisé dans le génome humain a prétendu qu’en vision, il a observé un  chromosome vu de la perspective d’une protéine survolant une chaîne d’ADN.

Actuellement, il se trouve que seul 3% de notre ADN fait sens dans le cadre de nos acquis scientifiques, les 97% restants seraient de « l'ADN poubelle » (Junk DNA), qui contiendrait de l’ADN sans fonction. Selon le professeur Eugene Stanley de l’Université de Boston, l’« ADN poubelle » contient un langage structuré qui pourrait contenir une forme de message.

Le DMT semble être adapté aux rites de méditation et n’est pas une drogue récréative, il faut le traiter avec respect. Les fortes modifications de la perception et la dissolution de sa propre identité peuvent être vécues comme traumatiques par certaines personnes, un encadrement particulier est donc nécessaire pour éviter les états d'anxiété et les "Bad trips".