Les chroniques du Don 2.

nous sommes à nouveau dans cet espace présent et pourtant ancien...

Il faut parler chiffres, et nombres de choses qui peuvent paraître de moindre importance.

1991, est-ce vain de parler du vingt, du jugement de l' arcane?

Compter pour ramener un chiffre jusqu' au delà du vingt, et sentir le 21, c' est calculer la probabilité incertaine et pourtant dessinée...

dans ce vingt qui a abreuvé le Don de l' automne, l' ivresse déterminée a parlée.

Le jeu de mon je s' est connecté à nous!

voilà l' alpha:

il est oméga sans faim ni fin...

L' univers a-t-il un début?

Il faut avoir une pensée finie pour déterminer une fin.

Ainsi l'être selon sa fragile perception pourra-t-il percevoir un chaos, comme le serpent qui se mord la queue.... mais ne serait-ce pas la queue qui infiltre le serpent?

Disons que dans ce "chaos" apparut un moment d' éternité!

sans début ni fin le "chaos" régnait en toute probabilités mais sans dessein déterminé, et dans ces infinis possibilités est apparue un début...

Voici le conte pour le jeune esprit calculant trois dimensions:

Ce moment d' éternité dans le chaos s' est nommé DIEU, il est-était-sera l' oeil qui ordonne, ordonna, ordonnera une linéarité, une structure surfant sur les vagues de l' incréé.

Pour simplifier, imaginez un océan tumultueux ou tout existe, et pourtant, rien n' existe!

tout est probabilité sans continuité.

Le moment stabilisé appelé DIEU, selon notre perception, a créer une plateforme sur cette océan, et s' est servi de cette infinie énergie pour qu' existe et perdure les lignes des paradigmes structurés.

Vous pouvez visualiser les myriades de réalités structurées comme une surface stable,crée sans cesse à partir de la source du chaos, un océan tumultueux qui est l' énergie de toute chose, qui gronde juste au-dessous de nos structures.

Le principe DIEU peut être visualisé comme le grand artisan de ce qui était-est-sera, l' architecte des structures, fondement d' existences basées sur le sublime principe du jeu!

pour éviter l' ennui, il faut jouer, pour jouer, il faut oublier, pour oublier il faut accepter de dormir et rêver à ces multiples réalités.

Ainsi, nous en parlerons prochainement,le rêveur imparfait a été crée...